Je m'offre à mon compagnon

Catégories : FANTASME Selfbondage auto bondage Bondage Shibari Kinbaku Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 1 an

Je me présente, je suis une jeune fille en couple qui se fait appeler Awena. Mon petit ami est de deux ans plus âgé que moi mais plus inexpérimenté que moi dans la sexualité quand je l'ai rencontré. Il faut dire que nous n'avions ni l'un ni l'autre fait beaucoup, mais contrairement à lui j'avais déjà embrassé, été caressée et avais perdu ma virginité avec un premier amant d'ailleurs pas très correct et dont je garde des mauvais souvenirs.

Avec lui, j'avais découvert le bonheur d'un amour tendre et aussi un amant naturellement doué, qui m'avait fait ressentir beaucoup de plaisirs et m'avait appris le véritable plaisir à être près d'un homme qui aime sa femme et qui sait lui faire comprendre. Il a beau être timide, quand il s'ouvre il sait être très charmeur. J'avais aussi découvert petit à petit le plaisir qu'il y a à être frustrée, que je déteste sur le moment mais que j'aime après quand il m'empêche de me toucher pour faire grimper le désir ! Ah, ses mains douces caressant mon corps, sans jamais s'attarder sur mes tétons si sensibles ou mon sexe, parfois les effleurant mais pour mieux les quitter et les frustrer après ! Il m'a fait découvrir ces plaisirs et jamais je ne l'en remercierai assez.

Au départ peu orienté domination, je lui fis part de ces désirs de me remettre à lui et après avoir hésité par peur d'être trop violent ou de me faire du mal, je lui expliquai qu'au contraire ces liens physiques permettaient de me libérer l'esprit et de me sentir mieux, plus réceptive aux caresses aussi, que j'aimais ça et que je lui dirai immédiatement si quelque chose n'allait pas, soudaine panique ou douleur musculaire. Il se laissa convaincre et commença de me faire profiter, d'abord simplement pour m'empêcher de me toucher pendant ses caresses, puis il me fit l'amour en entravant mes poignets. Je crois que je n'avais jamais autant aimé, il a su être un amant formidable. Ce scénario est imaginaire mais pourrait se réaliser, je le laisserai bien entendu choisir si il m'offre ce plaisir ou non. Bonne lecture !

Je me levai de mon lit pour regarder l'heure, mon téléphone affichait aux alentours de 18h30. Nous étions tous les deux étudiants, il était sorti pour une affaire personnelle (en fait, une petite sortie entre amis) sans me convier, je restais donc seule dans la petite chambre étudiante que nous partagions la plupart du temps. Avec son lit une place sur lequel nous nous serrions à deux pour la nuit, accompagné d'un petit bureau avec quelques rangements, d'un placard qui faisait office de penderie et d'un petit espace cuisine et lavabo où on pouvait tout faire en se retournant sur soi-même tant il était petit, nous ne disposions pas de beaucoup de place. La douche et les toilettes étaient partagées avec une autre jeune fille dans la chambre en vis-à-vis, avec laquelle je m'entendais très bien mais qui n'était pas trop au courant de nos jeux.

Il était donc aux alentours de six heures et demie et je savais disposer d'environ une heure devant moi avant qu'il ne rentre. Trop court pour aller travailler à la BU qui était à environ 15 minutes à pied de l'appartement, j'étais désœuvrée étant proprement incapable de trouver la concentration pour travailler seule à mon bureau. L'excitation qui m'avait gagnée quand j'avais aperçu la bosse formée par son pantalon juste avant qu'il ne m'annonce devoir y aller n'était pas retombée, mais je n'avais pas envie de solitude et donc aucun désir vraiment fort de me masturber, ce que je ne fis pas. Au lieu de ça je passai la première demi-heure à imaginer et noter toutes les étapes d'un selfbondage que je pensais irrésistible, qui m'offrirait le bonheur d'avoir sa présence en moi, et la seconde à réaliser le scénario.

Je commençai par m'accroupir sous le lit et je sortis la boîte discrète qui renfermait nos jouets. J'attrapai le nécessaire à lavement, puis je partis aux toilettes. L'autre fille n'était pas là, ce qui m'arrangeait bien. Je nettoyai soigneusement mon intérieur jusqu'à ce que l'eau ressortie soit parfaitement pure, puis je retournai à l'intérieur et passai à la suite. Je pris le plus gros de nos plugs tunnels, je voulais me détendre et m'écarter l'anus pour qu'il n'ait plus qu'à me le retirer pour me prendre sans avoir besoin de forcer, ce serait bien plus confortable et facile. Je ne parvins pas à le mettre du premier coup malgré une certaine dose de lubrifiant et je me rabattis sur un autre de taille intermédiaire, me disant que je changerais après. Celui-là m'écartait déjà beaucoup d'ailleurs ! J'attrapai ensuite la corde et commençai à réaliser un harnais de hanches. Il servait à me mettre en valeur et non à me retenir, puisque j'étais dans l'optique de l'exciter au point qu'il ne puisse plus se retenir. Je serai retenue par bien assez d'autres choses ! J'ai utilisé celui-ci (le tutoriel est en anglais) : https://www.theduchy.com/hwg-marquise-hip-harness/

Étape suivante, il fallait que je prépare les emplacements qui fixeraient les menottes en corde que je prévoyais. Je créai donc deux boucles de corde se fixant aux deux montants supérieurs du sommier, dans lesquels je pourrais par la suite passer les cadenas les reliant à la boucle de mes menottes afin de m'entraver. Pour ne pas perdre de temps, Je réalisai et bloquai rapidement les menottes pour n'avoir plus que les cadenas à passer. Pour ceux-ci, j'accrochai une très longue ficelle doublée aux clés et j'accrochai cette ficelle à la boucle des menottes. Ainsi même si cela prenait beaucoup de temps, je pourrais me libérer si il lui arrivait un problème.

Ces préparatifs me trempaient de désir (est-ce étonnant ?) et je posai une serviette pour protéger le lit avant de m'y entraver. Je créai des sortes de menottes autour de mes genoux, qui viendraient rejoindre le point d'ancrage de celles de mes poignets, mais je ne les fixai pas tout de suite. Je commençai par mes chevilles qui se retrouvèrent elles d'une part écartés sur les montants des deux côtés du lit, offrant mon intimité aux regards ; d'autre part une corde les reliait aux pieds inférieurs du lit pour que je ne puisse pas les remonter. Je changeai au dernier moment de plug comme je l'avais prévu pour mettre le plus gros, qui me défonçait vraiment et me faisait un peu mal, mais j'étais habituée à cette douleur que je ne sentais presque plus. J'ajoutai un œuf vibrant dans mon vagin dont j'avais posé la télécommande bien en évidence près de la porte d'entrée, qu'il sache ce qui l'attendait. Je nouai ensuite un autre harnais décoratif autour de ma poitrine, pour faire ressortir mon trop petit à mon goût 85B. Les derniers instants furent consacrés à surveiller l'heure

  • 19h25, il devait rentrer dans 5 minutes, l'imaginer me fit mouiller encore davantage - puis à attacher mes genoux au haut du lit et à glisser les cadenas aux boucles de mes menottes. Dorénavant, ma seule libération pourrait venir des clés accrochés au bout de cette looooongue ficelle que je ne pouvais faire glisser que d'une main, véritablement centimètre après centimètre ! J'étais excitée comme jamais, cela faisait plusieurs jours que nous n'avions rien fait ensemble et j'étais clairement en manque de lui.

J'entendis la poignée tourner et au bruit de ses chaussures je savais que c'était lui, il avait toujours ses grosses chaussures militaires noires très reconnaissables à l'oreille ! Il me lança de la porte un "pas un bruit ou tu seras punie", j'eus à peine le temps d'enregistrer l'information que l'œuf que j'avais placé dans mon vagin se lança à pleine puissance, je n'aurais pas dû prendre le plus puissant ! L'excitation fit le reste et en quelques secondes je montai dans un orgasme puissant qui m'empêcha de contenir un long gémissement. Il avait tout juste eu le temps de retirer ses chaussures qu'il me rejoignit et le spectacle le fit sourire. Je haletais et il le voyait bien, tout comme les traces sur la serviette qui montraient que j'étais excitée depuis longtemps. L'œuf vibrait toujours et même si il avait baissé la puissance au minimum durant mon orgasme, j'avais du mal à rester immobile avec cette sollicitation. Il le coupa tout à fait et le retira lentement de ma grotte, me faisant soupirer quand le plus gros diamètre franchit l'ouverture de mon corps.

  • Dis-moi, tu n'as pas très bien obéi à l'ordre de rester silencieuse, n'est-ce pas ? Non, ne réponds pas, c'est une affirmation, tout le couloir t'aurait entendue si j'avais laissé la porte ouverte ! Quand à ton excitation, elle montre que tu n'attendais que ça. Je pense que ça mérite une petite punition, tout ça non ?

Je ne répondis pas à son air provocateur et son sourire en coin, je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait mais ça promettait d'être difficile. Il commença par me bander les yeux pour m'empêcher de voir ce qu'il faisait, puis commença à caresser et embrasser mes cuisses, se rapprochant très lentement de mon entrejambe. Ouf, me dis-je, ce n'était qu'une séance de frustration avant de me faire l'amour, j'en avais l'habitude de celles-là et je les vivais bien même si c'était une véritable torture tendre. Quelle erreur ! Après m'avoir doucement conduite au somment du désir, il posa un baiser léger sur mon clitoris, puis je sentis un contact froid sur mon sexe et presque simultanément, un bruit de fermeture métallique. Je gigotai mais rien à faire, je m'étais trop bien attachée et n'avais aucune défense. "Cela" se resserra doucement avec d'autres cliquetis jusqu'à ce que je sente le contact réparti uniformément sur mon tour de taille et mon entrejambe, puis j'entendis le bruit d'un cadenas que l'on ferme. Il me retira le bandeau puis détacha dans l'ordre mes genoux puis mes chevilles, le harnais de hanches et celui de poitrine pour finir par les menottes. Il m'avait laissé le plug tunnel ce qui créait une certaine gêne pour marcher, mais il le savait pertinemment et je savais de mon côté que cet oubli était volontaire.

  • On va aller manger comme ça, au resto U comme d'habitude, une robe mais bien sûr par de culotte, la ceinture suffit largement. Allez hop, exécution !

Car oui, l'objet qu'il venait de me poser, c'était une ceinture de chasteté. J'avais déjà eu l'occasion de la tester sur plusieurs heures, quasiment sur une journée complète, et je savais gérer les besoins naturels avec. A l'intérieur, un bec s'adaptait à la forme de l'intimité pour recueillir les urines, et finissait en un petit tuyau exactement comme si on allait normalement aux toilettes ; pour rincer il suffisait d'injecter une petite seringue d'eau par ce même trou et de la laisser ensuite s'écouler. Pour la grosse commission, un trou permettait de les faire et de s'essuyer normalement, il n'y avait aucun souci pour ça. Cette fois, j'appréhendais un peu le temps qu'il allait me la laisser. Je m'habillai comme requis et avant de sortir, je lui posai la question.

  • Tu comptes me laisser combien de temps dans ma ceinture cette fois-ci darling ?
  • Pour l'instant, jusqu'à dimanche soir. Si tu n'es pas sage, je réfléchirai sans doute davantage avant de te libérer…

Sur ces mots qui me laissèrent un peu (très) frustrée de savoir que tout le désir développé par ces journées où on n'avait rien fait allait encore rester à l'état de désir et non d'accomplissement pour encore un moment (nous étions vendredi soir), il prit la clé qui commandait le cadenas et en fit glisser la jolie chaînette autour de son cou. Je vis la clé disparaître dans le col de sa chemise et il me prit la main pour m'entraîner dehors, il est vrai que nous avions du retard sur l'horaire donné à une amie qui devait nous rejoindre devant pour manger ensemble. Je marchais toujours un peu plus lentement avec la ceinture parce que je ne pouvais adopter ma démarche familière qui est celle des talons, un pied posé toujours juste devant l'autre, à cause de la largeur entre mes jambes. Elle créait alors un déhanché assez sympathique, sur lequel un passant se retourna, j'eus le temps d'apercevoir son regard posé sur moi avant qu'il ne détourne la tête, gêné d'avoir été surpris.

Mon compagnon envoya un petit message à notre amie pour prévenir de notre retard, puis il reprit ma main pour marcher. Je la serrais fort, je sentais l'ardeur pulser dans mes veines mais je savais devoir me retenir ou j'écoperais probablement d'une durée de punition bien pire ! Nous mangeâmes en parlant de tout et de rien, notre amie n'a fait aucune remarque sur notre retard et n'a pas semblé remarquer les légères gênes que j'éprouvais à marcher, entre la largeur de la ceinture et la présence du plug que je commençais à sentir de plus en plus, il me chauffait celui-là ! Nous nous séparâmes assez rapidement après manger, et heureusement parce que cela nous permit de remonter rapidement à notre appartement. Monter les 4 étages avec ce plug qui me stimulait à chaque pas devint rapidement un enfer, je n'avais jamais essayé avec aussi gros et surtout pas un tunnel qui me maintenait grande ouverte et je devais dire que c'était difficile ! Nous arrivâmes enfin et je me jetai sur le lit en écartant les jambes, ce qui soulageait la pression. Il comprit ma souffrance et vint me le retirer, mais il remit après un plug de forme classique, gros aussi mais qui permettait à mon anus de se refermer après le passage du plus gros diamètre, ce que celui-ci apprécia grandement ! Il était déjà tard, il me menotta tendrement les mains dans le dos et se colla à moi pour dormir en me tenant dans ses bras, il m'avait retiré ma robe et comme je ne portais pas de soutien-gorge, cela revenait à dormir avec seulement ma ceinture. Il me fallut du temps pour trouver le sommeil, mais ses caresses douces sur mon ventre au-dessus de la ceinture et la douceur de son torse contre mon dos eurent finalement raison de ma résistance et je m'endormis tout contre lui.

Le lendemain matin je me réveillai avant lui et en me tortillant pour me retourner je sentis de nouveau la présence de la ceinture qui entourait ma taille pour encore un long moment. Je parvins à détacher mes menottes et me levai en passant par le bas du lit pour ne pas le réveiller, et je me précipitai aux toilettes pour le petit pipi du matin. Je lui préparai ensuite le petit déjeuner, son infusion préférée et des pancakes tout chauds avec beurre, miel et confiture sur un petit plateau. Je retournai le voir et l'embrassai tendrement pour le réveiller en douceur, il se mit sur le dos et s'étira, j'admirais son corps entièrement nu barré seulement du drap qui s'était tortillé et mis en travers sans rien cacher de lui, j'aimais ce qu'il était. Il se redressa et je m'assis à côté de lui sur le rebord du lit avec le plateau, je m'étais également fait une tasse d'infusion. Il m'embrassa les cheveux et m'entoura d'un bras avant de prendre sa tasse et de commencer à manger, j'appréciais ce moment de tendresse. Il joua un instant avec la clé toujours suspendue à son cou et mangea sans rien dire avec un petit sourire. Mauvais signe, je m'attendais à subir pas mal de tentations et donc de frustrations vu la promesse de durée qu'il m'avait faite. Après avoir débarrassé le plateau, il me fit mettre à quatre pattes et joua doucement avec le gros plug toujours dans mes fesses jusqu'à parvenir à me le retirer, je me redressai avec un soupir. La stimulation permanente était certes agréable, mais au bout d'un moment et surtout avec la ceinture qui empêchait tout soulagement de l'excitation, ça pouvait devenir franchement pénible !

Il me prit dans ses bras et me câlina longuement, j'étais bien. Après un moment de tendresse dans ses bras il se releva, s'habilla et je fis de même, avant de préparer mon sac pour aller étudier à la BU. Les tendresses (et le sexe) ne devaient pas nous faire oublier nos études qui étaient très exigeantes ! Je pris ma tablette avec le stylet, mes livres d'exercices et c'était parti pour le quart d'heure de marche qui nous séparait de la bibliothèque. J'arrivais assez facilement à me faire à ma ceinture, qui était parfaitement invisible sous une robe légèrement bouffante. Nous passâmes la matinée à travailler, j'arrivais assez facilement à oublier la ceinture quand j'étais assise sans bouger au bureau. Par contre, dès que je me levais par exemple pour aller aux toilettes, celle-ci se rappelait à moi par un très léger frottement qui me rappelait sa présence, et que le passage aux toilettes serait un peu plus difficile que sans. Le pire étant cette sensation de frais produite quand je rinçais l'intérieur de la ceinture, qui me donnait des envies dingues !

Je survécus tant bien que mal à la première demi-journée et le midi il décida de se faire galant et de m'emmener au restaurant. Il choisit un japonais que nous avions déjà essayé et prit deux grands bols de ramens, me lançant des petites piques tout le long du repas pour m'exciter alors qu'il savait pertinemment que c'était déjà difficile pour moi. De retour à la BU pour l'après-midi, nous trouvâmes une petite salle libre et nous pûmes nous y installer, ces salles étaient plus discrètes que la grande salle principale et comme elles étaient d'ordinaire consacrées au travail en groupe on pouvait y parler librement. Il profita de cette intimité relative (la porte était quand même en verre) pour jouer avec moi, posant son pied à côté de ma cuisse pour la caresser ou même simplement rester immobile comme ça, ou encore me faire asseoir sur ses genoux et caresser mon ventre voir mon entrejambe par-dessus la ceinture de chasteté. Il va sans dire que l'après-midi toute entière a été un enfer de frustration. De retour le soir à l'appartement après avoir mangé au resto U, cette fois plus calmement, il se déshabilla entièrement et fit de même pour moi, je me laissai faire en tremblant d'expectative. J'étais tellement excitée et à la fois je savais que j'avais encore 24h à tenir sans retirer la ceinture, c'était tellement frustrant ! Quand il retira son caleçon il était dur comme la pierre, il se rapprocha et se colla contre moi, je sentais son sexe sur mon ventre, il se pencha pour murmurer à mon oreille qu'il avait très envie de moi mais que la punition n'était pas terminée, et qu'il apprécierait que je le soulage… Je le repoussai sur le lit et m'allongeai sur lui, j'avais envie de prendre mon temps. Il posa ses mains sur mon dos et les fit lentement glisser, il voulait prendre le temps de me caresser aussi et j'appréciais cela, avec lui ce n'était jamais le sexe pour la baise mais pour partager un bon moment d'intimité.

Après un bon moment, je n'en pouvais plus et je m'approchai doucement de ce sexe tendu, j'y posai une main pendant que l'autre glissait doucement plus bas, joua un instant avec ses bourses puis descendit près de sa petite rondelle. Avant que je commence à masser doucement il prit ma main et suça lentement mon index, le couvrant de salive, le message était clair. Je repris ma place et après quelques massages je glissai directement et doucement mon doigt dans son anus, sans forcer. Il laissa échapper un petit gémissement et je le sentis se tendre, je savais qu'il aimait tellement ça ! Je jouai un moment avec puis je me retournai et je renversai la tête en arrière pour faire franchir à son sexe la barrière de mes lèvres, puis je poussai directement pour qu'il entre profondément. Je sentis une résistance et un renvoi quand il arriva au bout de ma bouche mais je forçai un peu plus et il rentra dans ma gorge, mes lèvres touchaient son corps et je pris le temps de le recouvrir de salive, contractant doucement les muscles de ma gorge pour le serrer tout en continuant de jouer d'un doigt et maintenant de deux dans son anus. Il gémit, je sentis son bassin se soulever et son sexe palpiter, quelques allers-retours dans ma gorge et il fut sur le point de se lâcher, il me retira et garda les mains sur mon visage, il poussa mon bras du bout du pied pour retirer les deux doigts qui étaient bien engagés dans son anus et me tint comme ça un bon moment avant de me relâcher et de m'indiquer d'un geste de m'allonger à côté de lui, j'obéis et il se colla contre moi pour caresser mon dos, en bloquant mes mains dans mon dos pour que je ne touche pas à son sexe.

  • Je voulais juste que tu prennes le temps de me faire du bien mais je ne veux pas jouir ce soir, je me réserve pour demain soir où tu vas déguster fortement… Tu as intérêt à être prête physiquement, ça va être ta fête…

Ses mots me firent tressaillir et déclenchèrent une nouvel onde de désir qui parcourut tout mon corps, il s'en aperçut et me retourna pour commencer à caresser doucement mon ventre, remontant petit à petit sur ma poitrine. L'autre main flattait mon dos, en explorait les courbes, passait dans ce petit creux où j'aime tellement qu'il me caresse. Ses mains changèrent de place, celle dans mon dos fit irruption sur ma poitrine tandis que celle-là glissait pour parcourir ma hanche et se poser juste devant, j'ondulai pour me coller contre son torse, ça faisait du bien. Mais ce mouvement me rappela la ceinture de chasteté que j'avais oublié un instant et je poussai un gémissement de désespoir, sans me dégager toutefois parce que je savais qu'une telle vexation allongerait probablement la durée avant libération ! Il le sentit et en profita pour me mettre sur le dos et s'installer au-dessus de moi, il embrassa passionnément mon cou, descendit sur mes tétons qu'il mordilla pendant que sa langue jouait avec le bout, il savait à quel point j'aimais ça. Je me cambrai sous ses lèvres et ses mains, il continuait de jouer avec moi.

Après ce qui me sembla des heures de ce traitement, mon sexe était plus trempé que jamais sous ma ceinture... et impossible de passer la main pour me soulager seule, et bien sûr impossible surtout pour lui de m'offrir ce que je désirais, c'était bien l'objectif. Il s'arrêta lentement, me laissant redescendre de mon nuage d'excitation et posa un baiser tendre sur mon front, m'invitant à me blottir contre lui. Je le fis en résistant à l'envie de me frotter contre lui pour lui donner envie jusqu'à ce qu'il me libère, il savait être inflexible et je ne réussirais qu'à rallonger ma punition. Je me nichai tout contre lui et posai une main sur sa hanche, il posa un baiser sur mon front en me souhaitant bonne nuit avec ce petit surnom qu'il aimait à me donner…

Le lendemain matin il se leva avant moi et m'offrit le petit déjeuner au lit comme je l'avais fait la veille, il m'installa même assise entre ses jambes et appuyée sur son torse, j'étais bien jusqu'au moment où je sentis son sexe qui se durcissait sous mes fesses. J'avais les jambes repliées et écartées pour poser le plateau devant nous, ce qui dégageait bien le trou qui servait à donner l'accès à l'anus… Une fois qu'il sentit lui-même qu'il était suffisamment raide et mouillé (il avait tendance à couler beaucoup, ce qui parfois nous évitait d'avoir à prendre du lubrifiant à côté), il massa doucement quelques instants ma rondelle de deux doigts mouillés de salive qui rentrèrent facilement, puis il me souleva légèrement et fit passer son sexe dans l'anneau de la ceinture et me relâcha. La gravité et le liquide séminal qui mouillait son gland firent le reste, son sexe écarta mes chairs et se fraya un chemin dans mon anus. J'eus un peu mal parce que c'était pas énorme comme lubrification et qu'il y avait quand même un certaine largeur à faire rentrer, mais rien de bien méchant. Une fois planté il m'invita à me laisser aller de nouveau, appuyée sur son torse comme si de rien n'était.

  • Ce n'est qu'un échauffement pour que tu saches ce qui va t'attendre ce soir…

Je me laissai faire, troublée, et ses mains reprirent les caresses douces sur mon ventre, le massant légèrement comme pour m'inviter à me décontracter, ce que je fis d'ailleurs et qui lui permit d'entrer bien jusqu'à la garde dans mes fesses. Nous finîmes notre petit déjeuner ainsi et au moment de débarrasser, il attrapa une des cordes qui étaient restées sur le côté du lit de mon exhibition du vendredi soir et il attacha rapidement sa taille à la mienne, puis il se leva avec moi. Heureusement qu'il avait le dos solide, parce que sa taille faisait que mes pieds ne touchaient pas le sol, et la corde me permettait de ne pas partir en avant, j'étais coincée sur sa belle queue et incapable de la retirer ne serait-ce que d'un demi-centimètre.

Il débarrassa et retourna s'asseoir au bureau cette fois-ci, puis il sortit ses affaires et commença à travailler. Je compris que j'allais rester un moment comme ça et je fis de même, travaillant juste à côté de lui en me penchant légèrement de côté pour lui laisser la place. Je savais qu'il était inutile de lui demander combien de temps on allait rester comme ça, il avait une endurance folle si il le voulait et il n'avait visiblement pas l'intention de me libérer le cul de sitôt. Je travaillai donc ainsi, me contractant parfois de temps à autre autour de son sexe qui m'écartait pour le repositionner légèrement et être plus à l'aise. Vers midi il se releva et me releva avec lui en me prenant les jambes sous les bras pour m'aider, ce qui eut bien entendu pour effet de me remonter les jambes et de m'ouvrir les fesses..

Les deux derniers centimètres qui étaient sortis rentrèrent d'un coup et je gémis, ceux-là n'avaient pas été mouillés et ça faisant un peu mal ! Soutenant les deux jambes d'un seul bras il mouilla ses doigts et alla masser doucement autour de mon anus, me détendant un peu et apaisant la douleur. Il me porta ainsi jusqu'à la cuisine et je sentis une envie d'aller aux toilettes se faire pressante, l'infusion du matin n'aidant pas du tout ma vessie à se contenir. Je lui en fis part et il hocha la tête, c'était aussi son cas. Il retourna s'asseoir sur le lit et m'aida à sortir, les premiers centimètres furent légèrement douloureux parce que peu mouillés malgré son massage, mais la suite se passa sans problème. Il joua quelques instants sur la lenteur pour faire ressortir le plus gros bout de son gland puis sortit tout à fait et se retira de l'anneau, avant d'aller aux toilettes et se nettoyer. Quand je voulus y aller, il me demanda d'attendre quelques instants avant et me banda les yeux. L'envie n'était pas très pressante, je pouvais tenir après tout. Sans prévenir il me poussa doucement et m'attacha une main au lit, comme je portais toujours mes menottes il n'avait pas vraiment grand chose à faire si ce n'est boucler le cadenas.

  • Tu peux bien attendre un peu avant d'y aller, non ?

Sans me laisser le temps de répondre il me planta là et partit préparer le repas. Cette envie pressante avait tendance à m'exciter, l'impossibilité de m'échapper me rendait folle et je me demandais jusqu'où il allait faire durer le jeu ! Je m'allongeai pour éviter de comprimer ma vessie distendue et me décidai à attendre en essayant de ne pas trop me tortiller. Les minutes défilaient et une bonne odeur montait de la cuisine, sans que j'arrive à déterminer ce qu'il faisait.

  • On va bientôt manger, tu viens te laver les mains avant chérie ?

Quel mufle, il savait très bien et se permettait d'ironiser sur ma situation ! Après une dizaine de secondes il passa la tête et me dit :

  • Ah mais oui, je suis bête, j'avais oublié ! Allez, je te détache va.

Il prit la clé du cadenas et l'ouvrit, je le remerciai d'un baiser et filai sans délai aux toilettes soulager mon corps qui criait grâce. Jamais je n'avais été aussi heureuse d'avoir des toilettes ! Je me rinçai comme à l'accoutumé et me lavai les mains avant de manger ce qu'il nous avait préparé et qui sentait divinement bon. Notre repas vite expédié, nous nous habillâmes pour partir travailler, cette fois-ci dans un parc du centre ville, la bibliothèque étant fermée le dimanche. N'étant plus perturbée par son sexe planté en moi, j'étais plutôt efficace et quand nous remballâmes nos affaires, j'étais contente de ce que j'avais fait. Il m'embrassa soudain et me fit rouler dans l'herbe en me chatouillant sans pitié, j'explosai de rire et lui rendis ses chatouilles, la bagarre dura plusieurs minutes avant que je ne finisse par demander grâce, rouge et essoufflée. Bon prince, il se releva et me tendit la main pour m'aider à me redresser, puis nous partîmes au resto U du centre-ville assez tôt, il devait être 19h quand nous nous installâmes avec nos plateaux. Repas simple et vite expédié, avant 20h30 malgré le métro nous étions rentrés à l'appartement. Je n'en pouvais plus d'excitation, il avait passé le trajet à me caresser discrètement et à me murmurer des obscénités à l'oreille, j'avais besoin de lui, maintenant.

Tout en tendresse il me refit les menottes et les attacha au lit avec les cadenas, puis il attacha mes genoux et mes chevilles comme je l'avais fait moi-même vendredi soir, je sentais l'excitation monter de ces préparatifs. Enfin, je le vis retirer la clé de cette maudite serrure de son cou ! Il détacha doucement les fermetures et me la retira, je sentis comme une victoire l'air frais caresser mon sexe enfin libre. Avant de m'attacher il avait pris le temps de m'administrer un lavement pour que je sois bien propre de partout, Ses mains se posèrent sur ma poitrine avec douceur, il avait détaché ses longs cheveux et je sentais toute la sensualité qu'il mettait dans ses mouvements lents, c'était un véritable supplice que de ne pouvoir ruer mon bassin en avant pour prendre en moi ce sexe bien gonflé qui était tendu devant lui. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et je l'embrassai avec passion, je sentais sa langue qui plongeait dans ma bouche et je le lui rendais, les yeux fermés, tout le corps tendu comme un arc. Ses mains caressèrent du bout des doigts l'intérieur de mes cuisses, amenant mon sexe à se tremper encore un peu plus du désir illimité que je ressentais.

Ce devait être un spectacle peu habituel que celui de ce sexe exposé entre deux cuisses levées à un angle déraisonnable pour toute personne ne disposant pas d'une bonne souplesse, dégoulinant d'un liquide produit par un corps soumis dans cette position humiliante. Les grandes lèvres s'ouvraient pour laisser voir en spectacle les petites encadrant une fente d'où coulait ce même liquide, surmontée plus haut d'un bouton, d'une excroissance gonflée qui sortait d'un petit capuchon de chair rouge et brillant de manière obscène dans la lumière de l'unique lampe qui éclairait la scène. Cette fente s'ouvrait plus bas sur un gouffre plus que révélé par la position, ouvert, dégoulinant de cette mouille qui trahissait sans vergogne le désir féminin. Plus bas encore sur ce corps de femme s'ouvrait une autre grotte, plus serrée et secrète celle-là, peut-être plus intime de ce fait, une grotte capable de s'ouvrir également comme une fleur pour avaler entre les deux globes à la peau douce et fine qui la protégeaient un membre bien dimensionné. En remontant cette fois le long de ce corps offert on accédait enfin à ce temple de la maternité possible, ces deux mamelles aux pointes gonflées par le désir de l'homme, que celui-ci jouait à couvrir de ses mains fines, pinçant, agaçant ces extrémités si sensibles…

  • Je vais te faire hurler mi amore...

Ses lèvres se posèrent sur ma poitrine avec laquelle il commença à jouer tandis que ses mains s'aventuraient plus bas, il mordillait tour à tour mes tétons avec délicatesse, j'avais envie de le plaquer contre moi, qu'il morde fort, que ses mains qui effleuraient à peine les grandes lèvres parfois se ruent entre mes jambes pour me remplir, j'avais envie de lui, lui et lui et il ne m'offrait que cette douceur si langoureuse et si excitante mais si frustrante, je n'en pouvais plus. Je commençai à gémir doucement de désespoir, j'étais en manque, j'avais besoin de lui. Il retira ses mains et me banda les yeux, je ne savais ce qui m'attendait. Ses doigts froids de gel lubrifiant se posèrent sur mon anus et se mirent à le masser, je me détendis et le laissai m'ouvrir petit à petit, jusqu'à ce qu'il puisse glisser quatre doigts sans effort. Il les retira alors et je sentis qu'il s'était redressé. Il posa ses lèvres sur mon sexe et commença un doux cunni, il savait y faire et rapidement je commençai à gémir de plaisir, pourtant il n'avait pas encore touché au clitoris ni à l'entrée du vagin et se tenait entre les deux comme si il hésitait. Ses doigts continuaient d'explorer mon anus et me gardaient élargie, je sentais qu'il allait me faire subir quelque chose d'exceptionnel. Après un moment le contact s'interrompit, ses doigts se retirèrent et je sentis le contact du bout d'un sexe sur mon petit trou. Il poussa et je le sentis m'empaler sur quelque chose de plus gros que lui. Le gland était sur le point de passer quand un second contact sur mon vagin se fit ressentir et cette fois je le reconnus lui, il allait probablement jouer à me prendre pendant que j'aurais l'arrière plein. Il poussa sans difficultés les deux sexes, le gode et le sien, jusqu'au fond, puis je le sentis bouger et je compris mon erreur : il n'allait pas simplement me prendre tandis que l'autre trou serait occupé, il allait me prendre les deux trous à la fois !

Je gémissais déjà quand il rentra la première fois, et après des premiers mouvements lents pour s'assurer de ne pas me faire mal, il accéléra la cadence. Je criais de plaisir et c'était réellement violent de me faire prendre par les deux trous à la fois, en cadence, mais en même temps si jouissif ! Je partis une première fois et au lieu de ralentir comme il le faisait habituellement il me poussa encore plus à fond, ce qui amplifia d'autant la puissance de l'orgasme. A peine revenue sur terre, je sentis un contact sur mon petit bouton d'amour et c'était un petit vibromasseur qu'il lança, je décollai de nouveau en moins d'une demie-minute tellement la triple stimulation me rendait folle. Il posa le vibro et s'arrêta un instant dans mes trous, je repris quelques grandes inspirations qui se suspendirent quand je sentis ses doigts tirer un de mes tétons et y poser une pince, puis l'autre. En temps normal j'avais beaucoup de mal à les supporter, mais au milieu de ce nuage de plaisir elles me semblaient faire beaucoup moins mal… Il reprit ses va-et-vient et ralluma le vibro, il commença par jouer avec les pinces. En effet, celles-ci étaient métalliques et transmettaient toutes les vibrations à mes tétons dès qu'il les touchait avec l'extrémité vibrante. En temps normal, j'aurais trouvé ça douloureux. En temps normal, et celui-là n'était pas normal ! La douleur se sublima en plaisir et un nouvel orgasme foudroyant me catapulta au septième ciel avec violence, il me fallut près d'une minute pour retomber. Le vibro se reposa et appuya fortement sur mon clitoris tandis que sa main tordait les deux pinces d'un coup, je hurlai à nouveau de plaisir. Je finis par perdre le compte des jouissances, il semblait infatigable tandis que je m'épuisais dans ces contractions violentes de mon corps soumis à ce plaisir… Il se retira complètement ainsi que le gode mais ce n'était pas fini pour autant, en quelques secondes à peine un œuf vibrant à pleine puissance trouva sa place dans mon vagin et il se rua dans mon anus encore ouvert, dans des va-et-vient furieusement ardents.

Je criais de plaisir, je n'en pouvais plus et chaque fois que je retombais d'un orgasme le suivant me reprenait quelques secondes après. Il finit par s'arrêter de bouger et je sentis distinctement son sexe se vider dans des contractions dans mon anus, il se retira et rapidement coupa l'œuf et me le retira, et retira délicatement les pinces de mes tétons, tandis que j'étais encore dans l'extase du dernier orgasme. Je retombai pour de bon et sentant que j'étais libre, je pris plusieurs grandes respirations pour essayer de me calmer. Il détacha mes chevilles, mes genoux puis mes mains et me laissa me reposer, je joignis les mains pour les serrer entre mes cuisses, j'avais mal maintenant que tout était passé. Il me fallut une bonne dizaine de minutes pour reprendre un minimum mon souffle, pendant lesquelles il garda sa main dans mon dos en le caressant doucement et tendrement. Je rouvris les yeux et me tournai vers lui, il comprit ma demande muette et passa un bras sous mes épaules pour m'aider à me lever. La tête me tournait et j'avais du mal à marcher, je m'appuyais sur lui et il me conduisit jusqu'à la douche. L'eau fraîche me fit du bien et m'aida à me remettre les idées en place, mais j'étais toujours très faible physiquement. Je laissai un bon moment le jet d'eau froid au niveau de mon sexe pour apaiser la douleur consécutive à tant de stimulation, j'étais épuisée. Il me savonna doucement, je n'avais pas l'énergie de le faire et je m'abandonnai avec délices à ses mains douces, puis il me rinça et m'aida à sortir. Nous nous séchâmes rapidement et il me reconduisit au lit d'où il retira la serviette qui le protégeait des projections quand nous faisions ainsi l'amour. Il rangea sommairement ce qui pouvait être rangé ainsi et posa les jouets qui devaient être nettoyés dans un bac plus loin, nous nous en occuperions demain, la fatigue était trop prenante. Il me coucha sur le côté et passa un bras sous mon cou, l'autre se replia autour de mon ventre et il s'allongea tout contre moi pour dormir dans la position des cuillères que nous affectionnions tout particulièrement.

  • Bonne nuit mi amore...

Déjà emportée par Morphée je ne lui répondis pas, il m'avait épuisée mais j'étais heureuse.

Ce récit touche à sa fin, un grand merci à tous ceux qui l'auront lu jusqu'au bout ! Soyez indulgents, c'est la première fois que j'écris et que je poste ici… N'hésitez pas à me donner des conseils d'amélioration, je prends tout ce que je peux !

Très beau récit.. j'adore votre plume...
Très jolie texte bravo a vous
Ah, le bonheur de la frustration! Et des moments qui s'ensuivent. Vous décrivez tout cela remarquablement bien.
Une très belle histoire qui me donne des idées^^^ Merci pour cet agréable moment de lecture.
Belle histoire... beaucoup de détails j'adore .... au plaisir de vous lire ....
Très belle histoire. Bine écrite, captivante, j'aime beaucoup !
une bien belle histoire en plusieurs épisodes tous aussi captivants et attachants les uns que les autres :)
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